Chasseur d’images, voleur d’âmes... avec les années, j’ai acquis la certitude que les miroirs ne réfléchissent pas de façon objective. Face au miroir, chacun a une vision subjective de soi.
Je suis persuadée, qu’au contraire, la photo apporte une vision objective quand le photographe sait saisir l’instant magique où l’âme se dévoile derrière le masque de l’illusion.
C’est à cela que j’aspire, saisir ce moment fugace juste avant que tout ne redevienne banal...
Cette photographie n’est pas datée, mais je gage qu’elle n’est pas récente. Il s’agit certainement d’une époque que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, quand faire la fête s’entendait en son sens plein, c’est à dire en participant, alors qu’aujourd’hui, la fête se résume à s’empiffrer et à picoler quand ce n’est pas davantage parce qu’on oublie ses racines… L’instant est saisi dans sa pleine dynamique, je me sens dedans (28 ou 24 mm de focale je dirais) ! C’est ce que j’appelle une vraie photographie… Heu, où sont les autres ? 😉
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C’est effectivement une photographie prise il y a une trentaine d’années.
NIKON FE / 24 MM
Mais c’est une scène encore courante aujourd’hui en été dans les villages espagnols lors de la fête patronale, à la sortie de la messe… Dans la même veine que JOUR DE FÊTE ou UNE VIE A L’OMBRE DE LA CROIX…
Pas d’autre photos, c’est une galerie qui se compose d’une seule photo 😉
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Oui pas la peine d’en faire des tonnes… La bonne note, la bonne note… comme en musique 😀
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