Voilà des photographies comme on n’en voit plus guère de nos jours. Certes, d’aucuns diront que les beaux et nobles sujets ont été engloutis par la modernité. Mais, c’est plus la qualité du regard à laquelle je fais allusion. Certes, ce monde laborieux n’existe plus ; pour autant, ce ne sont pas de banales images d’archives. Elles disent la dureté de la vie autant que la solidarité, cette chaîne d’humanité dont les maillons ont été broyés un à un par les intérêts particuliers devenus notre pain quotidien.
Ce qui me surprend toujours lorsque je regarde ces photos, c’est cette joie de vivre malgré la dureté de la tâche… Et cette simplicité, ce naturel face à l’objectif !
Merci Evelyne 🙂
J’avais vingt ans lorsque j’ai fait ces photos, tout est plus facile à cet âge… y compris monter sur des échafaudages pour être à la hauteur de ceux qu’on photographie 😉
Je suis très sensible à ce type de reportage humaniste et sincère. Il y a comme une complicité avec les hommes qui se livrent pleinement à la photographe. Des images pleines d’espoir.
Lorsque je parlais de la facilité d’approche offerte par le Leica M, je pensais (entre autre) à ces photos prise dans une usine de traitement du charbon… Je m’étais retrouvée par hasard dans le périmètre de l’usine (chose qui arriverait difficilement aujourd’hui), la surprise de ces ouvriers a été totale et leur réaction très bon enfant face à l’adolescente que j’étais alors 😉
Voilà des photographies comme on n’en voit plus guère de nos jours. Certes, d’aucuns diront que les beaux et nobles sujets ont été engloutis par la modernité. Mais, c’est plus la qualité du regard à laquelle je fais allusion. Certes, ce monde laborieux n’existe plus ; pour autant, ce ne sont pas de banales images d’archives. Elles disent la dureté de la vie autant que la solidarité, cette chaîne d’humanité dont les maillons ont été broyés un à un par les intérêts particuliers devenus notre pain quotidien.
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Ce qui me surprend toujours lorsque je regarde ces photos, c’est cette joie de vivre malgré la dureté de la tâche… Et cette simplicité, ce naturel face à l’objectif !
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Je reste sans mots devant tes images.. je ne dirais pas mieux que LoJ..
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Merci Evelyne 🙂
J’avais vingt ans lorsque j’ai fait ces photos, tout est plus facile à cet âge… y compris monter sur des échafaudages pour être à la hauteur de ceux qu’on photographie 😉
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Cela me fait penser aux mines de charbon du Nord/pas de Calais où travaillaient beaucoup d’hommes de ma famille…
Bonne soirée,
Mo
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remarquable ! Encore une fois tu seras dans notre revue du 24 juin. Continue à nous régaler
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Une superbe série intemporelle encore…
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Je suis très sensible à ce type de reportage humaniste et sincère. Il y a comme une complicité avec les hommes qui se livrent pleinement à la photographe. Des images pleines d’espoir.
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Lorsque je parlais de la facilité d’approche offerte par le Leica M, je pensais (entre autre) à ces photos prise dans une usine de traitement du charbon… Je m’étais retrouvée par hasard dans le périmètre de l’usine (chose qui arriverait difficilement aujourd’hui), la surprise de ces ouvriers a été totale et leur réaction très bon enfant face à l’adolescente que j’étais alors 😉
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C’est une bonne chose d’avoir pris ces photos. On ne fera plus ce genre d’images aujourd’hui.
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