Je dois dire que je suis assez fan de ce genre de scène : je ne connais pas Russ et ma foi cette fresque en vaut bien d’autres ; les jeunes scotchés à leur smartphones, c’est monnaie courante, voire la règle. En revanche sa pleine justification réside dans cette troisième image produite un court instant par le hasard, dans laquelle se télescopent un message artistique et un (jeune) public qui n’en a cure, absorbé qu’il est dans l’univers obsédant de la connexion sans relâche… ça leur passe au-dessus de la tête n’est-ce pas ? 😉
C’était une image pour toi ! Je sais que tu es fan 😉
Je ne connais pas Russ, son nom était écrit à coté de la fresque… Une idée de l’équipe culturelle de Bourges, chaque mois un artiste repeint ce mur en mode palimpseste, après tout, n’est-ce pas ainsi que fonctionne notre monde ?
CQFD… J’ajoute que les deux filles sont presque vêtues de la même manière, comme si on les avait clonées… Très subversive cette photographie, plus encore que la fresque elle même ! 😀
Je ne vois pas bien ce que l’homme sur le mur tient dans sa main, mais c’est une jolie prise avec les deux belles indifférentes qui passent en marchant du même pas…
Eh, moi non plus, je ne vois pas bien ce que l’homme tient dans les mains… mais ce que je vois c’est que nos deux passantes-clones ont le nez plongé dans leur téléphone portable !
On pourrait imaginer qu’elles connaissent déjà cette fresque par coeur et qu’elle ne les intéresse plus, mais il faut savoir que chaque mois un nouvel artiste repeint ce mur artiste… éternel palimpseste culturel (à Bourges).
En regardant de plus près (merci LOJ !) on peut voir des escaliers à l’intérieur de l’objet que tient l’homme dans sa main… et par une de ces coïncidences (provoquées 😉 ) les deux jeunes filles clones semblent en descendre pour rentrer dans le monde réel déshumanisé de leur propre nombrilisme !
Effectivement, un escalier dans une montagne, je n’avais pas cliqué.
Par contre pour les filles, tu pourrais leur laisser le bénéfice du doute, peut être sont elles en train de prévenir leurs parents qu’elles ne vont pas tarder à rentrer… 😉
Je dois dire que je suis assez fan de ce genre de scène : je ne connais pas Russ et ma foi cette fresque en vaut bien d’autres ; les jeunes scotchés à leur smartphones, c’est monnaie courante, voire la règle. En revanche sa pleine justification réside dans cette troisième image produite un court instant par le hasard, dans laquelle se télescopent un message artistique et un (jeune) public qui n’en a cure, absorbé qu’il est dans l’univers obsédant de la connexion sans relâche… ça leur passe au-dessus de la tête n’est-ce pas ? 😉
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C’était une image pour toi ! Je sais que tu es fan 😉
Je ne connais pas Russ, son nom était écrit à coté de la fresque… Une idée de l’équipe culturelle de Bourges, chaque mois un artiste repeint ce mur en mode palimpseste, après tout, n’est-ce pas ainsi que fonctionne notre monde ?
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CQFD… J’ajoute que les deux filles sont presque vêtues de la même manière, comme si on les avait clonées… Très subversive cette photographie, plus encore que la fresque elle même ! 😀
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Bonsoir, j’adore ta photo 🙂
Belle soirée
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Cette fresque n’aurait pas autant d’impact sans les deux personnages. Il fallait penser à prendre cette photo!
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J’adore ces fresques… merci pour la découverte.
Passe une douce soirée.
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Je ne vois pas bien ce que l’homme sur le mur tient dans sa main, mais c’est une jolie prise avec les deux belles indifférentes qui passent en marchant du même pas…
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Eh, moi non plus, je ne vois pas bien ce que l’homme tient dans les mains… mais ce que je vois c’est que nos deux passantes-clones ont le nez plongé dans leur téléphone portable !
On pourrait imaginer qu’elles connaissent déjà cette fresque par coeur et qu’elle ne les intéresse plus, mais il faut savoir que chaque mois un nouvel artiste repeint ce mur artiste… éternel palimpseste culturel (à Bourges).
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En regardant de plus près (merci LOJ !) on peut voir des escaliers à l’intérieur de l’objet que tient l’homme dans sa main… et par une de ces coïncidences (provoquées 😉 ) les deux jeunes filles clones semblent en descendre pour rentrer dans le monde
réeldéshumanisé de leur propre nombrilisme !J’aimeJ’aime
Effectivement, un escalier dans une montagne, je n’avais pas cliqué.
Par contre pour les filles, tu pourrais leur laisser le bénéfice du doute, peut être sont elles en train de prévenir leurs parents qu’elles ne vont pas tarder à rentrer… 😉
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